En conséquence, le syndicat conseille à chacun d'installer des pièges dans son ou ses ruchers. Le piège sélectif est préconisé. Au printemps et jusqu'à la fin de l'été, surveiller les éventuels nids primaires, souvent installés assez bas (sous des appentis, ou dans des haies : ce qui représente un gros danger potentiel...) et ne pas hésiter à les détruire. Ce seront autant de nids secondaires parfois hauts, qui ne seront pas à détruire.
On peut aussi alerter les habitants de sa commune (par le biais des mairies) à ce sujet. De plus en plus de communes acceptent de financer des nids et de l’appât chez les particuliers. Ces pièges sont placés chez des particuliers à proximité d’anciens nids ou en quadrillage de la commune et les apiculteurs locaux prennent en charge le recensement des frelons piégés. Cette action met en œuvre une surveillance accrue et sensibilise le public à ce problème. (il ne s’agit pas là d’équiper les apiculteurs qui doivent déjà l’être et qui ont déjà conscience de cette invasion). Nous alertons sans cesse sur la dangerosité de cette recrudescence pour les habitants.
A partir d’octobre cibler les nids et continuer à piéger.
Ci-dessus la carte AURA pour un aperçu de ce qui se passe chez nos voisins savoyards.
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